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-Déc-2012-Mars-3013
 
   

Société Québécoise pour la Défense des Animaux

847, rue Cherrier, bureau 102, Montréal (Québec) H2L 1H6  (514) 524-1970

 

 
 

 

BULLETIN DE MARS 2013

 

TABLE DES MATIÈRES

 

  1. Lettre du Président de la SQDA
  2. La stérilisation animale     
  3. Les usines à chiots
  4. Quelles sont les lois qui protègent nos animaux au Québec?
  5. Le micropuçage pour nos animaux domestiques
  6. Freiner le génocide des animaux domestiques
  7. Le financement

 

  1. Lettre du Président de la SQDA

 

L’an passé, il faisait 20 degrés celsius au cours du mois de mars, un record datant de plusieurs décennies. Mais cela n’a pas duré et deux semaines plus tard, on est revenu à la normale. Cette année, nous nous situons dans les normales saisonnières.

 

Toutes les actions de la SQDA sont indiquées sur le site de la SQDA (www.sqda.org). Mais, comme vous allez le constater à la lecture des articles de ce bulletin, il reste beaucoup à faire pour améliorer le bien-être et le sort des animaux, sensibiliser le public sur le monde animal et la cruauté envers les animaux, conserver le patrimoine animal du Québec et améliorer les lois sur les droits des animaux.

 

Au tout début, je vous entretiens de la stérilisation animale comme une solution pour contrer les problèmes de l’abandon des animaux domestiques et de leur euthanasie s’ils ne sont pas adoptés dans un certain délai. Je vous mentionne également que le Québec n’est pas le pire des pays pour l’abandon des chats et des chiens au niveau international. Deuxièmement, je vous mentionne que le Québec n’a pas le record Guinness des usines à chiots et qu’il y a aussi les États-Unis qui considèrent également ce problème comme national. Ensuite, notre spécialiste légal vous parle des lois qui protègent les animaux au Québec, soit la faune en général. Elle vous fait part également de la technique de micropuçage de nos animaux de compagnie, cela dans le but de les retrouver plus facilement lors de fugue. Enfin, je vous parle de freinage du génocide des animaux domestiques dont un de nos anciens présidents Guillaume Onsow parle avec vigueur. Il veut aider les propriétaires d’animaux domestiques qui n’ont pas les moyens pour stériliser leurs chats et chiens dans le but de freiner le nombre d’abandons dont une partie  finissent euthanasiés.      

 

Pour ce qui est de la SQDA, il est de son devoir d’informer et de sensibiliser la population et les propriétaires d’animaux domestiques, et de promouvoir la responsabilisation, la stérilisation et l’adoption pour contrer l’euthanasie d’animaux de compagnie à la suite d’un abandon.

 

En dernier lieu, nous vous demandons aussi d’être généreux en cette période de printemps et de nous envoyer un don, peu importe le montant, car toute notre action est bénévole et nous avons besoin de votre participation financière pour continuer à remplir notre mission le plus efficacement possible. J’ai trouvé des bénévoles pour m’aider dans les articles du bulletin et de la traduction; je dois en choisir d’autres pour m’aider dans d’autres activités de la SQDA. Si vous voulez faire du bénévolat, veuillez nous en informer sur le formulaire de demande de dons.

 

Nous vous souhaitons de passer un printemps des plus joyeux avec vos proches et vos animaux de compagnie. Ces temps-ci, le soleil plombe, la neige fond laissant une douceur fraîche dans l’air. Que voulez-vous de plus? Profitez-en et partez pour une marche dans la nature et prendre une bouffée d’air frais; vous allez pouvoir constater les changements énormes dans la faune et la flore au printemps, une saison qui s’éveille pour laisser place à la vie. Les fleurs éclosent, les arbres bourgeonnent, les oiseaux gazouillent, les ours sortent de leur tanière, plusieurs animaux en profitent pour mettre bas.   Au printemps, on a toujours plus de temps, car les journées s’allongent jusqu’à l’arrivée de l’été. Profitez-en!  JOYEUSES PÂQUES en passant… et n’oubliez pas vos impôts….

 

Ghislain A. Arsenault, Président de la SQDA

 

  1. La stérilisation animale

 

Au Québec, on dénote chaque année l’abandon de plusieurs dizaines de milliers de chats et de chiens qui survient majoritairement lors de la période de déménagement de la fin du mois de juin et début juillet. On ajoute de plus que c’est un problème de société; le Québec se fait encore taper dessus. Il faut cependant ajouter que ce problème est mondial et qu’il ne faut pas désigner le Québec comme étant le pays record des chats et des chiens abandonnés au niveau international. Un documentaire télévisé l’an passé faisait d’ailleurs état de ce même problème au sud de notre frontière, soit dans plusieurs états américains.

 

Cependant, on est conscient du problème et il faut trouver des solutions. Plusieurs analystes mentionnent qu’une des solutions à ce problème est la stérilisation des chats et des chiens. Il faut donc informer, sensibiliser et responsabiliser les propriétaires de chats et de chiens pour stériliser leurs petits amis. La meilleure façon est de publier des articles dans les journaux, dans le bulletin de la SQDA ou tout autre moyen médiatique d’envergure, tel que les médias sociaux. Il faut enfin donner des balises à cette stérilisation, car une société demeure une société, si elle se reproduit pour la survie des espèces.

Telle qu’Annie Ross l’indique dans son article sur la stérilisation animale du journal La Presse du 22 février dernier, le 26 février devient officiellement la Journée nationale de la stérilisation animale au Québec. La Humane Society International et la Humane Society of the United States avaient conclu que la meilleure solution pour sauver la vie de nos amis qui finissent dans un refuge pour être adoptés ou, sinon euthanasiés, était leur  stérilisation et qu’il fallait l’encourager et la favoriser. C’est dans ce but que le World Spay Day a été créé aux États-Unis en 1995 et qu’il a lieu tous les derniers mardis du mois de février dans plusieurs pays du monde. Ceci vient appuyer ma thèse que les États-Unis ont un problème de chats et de chiens abandonnés depuis près de deux décennies.

 

Nous considérons que cette journée est importante, car on invite tous les québécois à faire partie de la solution en faisant stériliser leurs chats et leurs chiens. De plus, certaines municipalités ont des incitatifs pour solutionner ce problème en offrant des rabais sur l’achat de licence pour des animaux opérés. Il faut ajouter qu’il y a deux genres de stérilisation pour les femelles, la stérilisation temporaire qui n’est pas recommandée et la stérilisation définitive. Cette dernière se fait par ovariectomie (ablation chirurgicale des ovaires) et on peut la faire à tout âge, entre deux périodes de chaleur. Elle a l’avantage de supprimer toutes les chaleurs et toutes les maladies de l’appareil génital. De plus, pratiquée avant l’âge de 2 ans, elle prévient l’apparition des tumeurs mammaires. Pour les mâles, la technique de la castration est la plus utilisée.

 

Cette année, l’association des médecins vétérinaires du Québec (AMVQ) innove en créant un site internet sur la stérilisation. Vous pouvez visiter ce site pour obtenir plus d’informations sur la journée nationale ainsi que sur la stérilisation des chats et des chiens au Québec (www.sterilisationanimalequebec.ca). Tous les paliers de gouvernement, que ce soit provincial ou municipal, sont concernés par ce problème et des règlements sont établis surtout au niveau de certaines villes et municipalités pour contrer une augmentation probable de chats et de chiens errants ou abandonnés par leurs propriétaires.

 

Cependant, il faut que des lois et des règlements soient adoptés par les divers paliers de gouvernement pour inciter et favoriser la stérilisation animale au Québec. Il faut aussi que les propriétaires d’animaux domestiques soient responsabilisés sur ce genre d’action. La SQDA et ses membres peuvent aussi sensibiliser les élus politiques à cet égard.

 

 Ghislain A. Arsenault, Président de la SQDA

 

  1. Les usines à chiots

 

Selon les médias, le Québec aurait le «Guinness» des usines à chiots pour l’Amérique du Nord. Selon ces informations, j’ai toujours pensé que le Québec avait la palme des «usines à chiots» en Amérique du Nord. Cependant, à la lumière d’un documentaire réalisé par LCA – Last Chance for Animals – on en conclut que les usines à chiots aux États-Unis sont un problème national. Il y a approximativement de 3 à 4 millions de chiots provenant d’usines à chiots vendus chaque année aux États-Unis.  

   

Au Québec, le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation a saisi en septembre 2011 plus de 500 chiens dans un centre d’élevage de l’Outaouais. Selon un porte-parole de la Humane Society International du Canada qui a participé à la saisie : «Les conditions de vie des animaux sont parmi les plus difficiles que je n’aie jamais vues». On a réparti ces 500 chiens dans plusieurs refuges au Québec et en Ontario pour qu’ils en prennent soin, qu’ils les remettent sur pied et qu’ils fassent la promotion pour leur adoption.

 

Nous vous mentionnons que tous les chiots doivent grandir dans un contexte sain, ce qui n’est aucunement le cas dans les usines à chiots. De plus, nous vous recommandons de ne pas acheter de chiots provenant d’usines à chiots, car cela contribue à leur prolifération alors que la SQDA et plusieurs refuges prônent leur fermeture. « N’acheter donc pas un animal provenant d’une usine à chiots et privilégier un refuge pour l’adopter ». C’est d’ailleurs l’adoption à partir d’un refuge que nous allons promouvoir lors de notre prochaine campagne de déménagement.          

 

Ghislain A. Arsenault, Président de la SQDA

 

4.      Quelles sont les lois qui protègent les animaux au Québec?

 

Faisant suite à un premier article paru dans le dernier bulletin de la SQDA sur les lois entourant le bien-être de nos animaux de compagnie, cet article met l’accent  principalement sur les animaux «sauvages».

 

La LOI SUR LA CONSERVATION ET LA MISE EN VALEUR DE LA FAUNE, loi provinciale, fait partie d’une réglementation globale qui a pour objet d’encadrer la chasse, la pêche, le commerce de la fourrure et le piégeage d’animaux. En effet, cette loi a pour but la conservation de la faune et de son habitat, leur mise en valeur dans une perspective de développement durable et la reconnaissance pour toute personne du droit de chasser, de pêcher et de piéger, conformément à la loi. Une quantité surprenante de règlements connexes y est associée. C’est encore une fois le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) qui est responsable de l’application concrète de plusieurs des règlements.

 

Il existe aussi la LOI DÉCOULANT DE LA CONVENTION SUR LES OISEAUX MIGRATEURS, qui est une loi fédérale provenant de la Convention sur les oiseaux migrateurs élaborée par le Canada et les États-Unis en 1916. Elle s’applique à tous les oiseaux migrateurs et ce, peu importe s’ils font l’objet d’une exploitation ou non. Cette loi règlemente la chasse et permet la protection de certaines aires de repos et de nidification utilisées par ces oiseaux. Autrement dit, certains terrains où les oiseaux ont l’habitude de se reposer sont protégés afin d’éviter que des chasseurs puissent s’en prendre à des colonies d’oiseaux migrateurs sans trop d’efforts.

 

Des agents de la faune sont présents sur plusieurs territoires pour faire appliquer les lois relatives au respect des animaux sauvages et en danger. Tout dépendant de la région où ils sont affectés et de la période de l’année, le travail des agents de protection de la faune peut varier quelque peu. La nature de leur travail est directement liée aux saisons. Par exemple, en automne, les agents travaillent intensément sur la chasse en s’assurant que les chasseurs respectent les règlements qui entourent cette pratique. Ils patrouillent donc à travers les forêts du Québec afin de vérifier si ces sportifs sont en conformité avec les règlements. De plus, ils répondent aux plaintes de braconnage qui leur sont transmises par le biais de la ligne téléphonique SOS Braconnage et enquêtent sur les infractions commises.

 

Durant l’hiver, en plus de leur travail régulier, certains agents ont le mandat de faire la tournée des institutions scolaires ou de participer à certains événements, tels que des expositions, des salons, dans le but de sensibiliser la population à la protection de la faune. On dit souvent que le fait de sensibiliser nos jeunes est l’un des meilleurs moyens de passer le message, et c’est bien vrai. Au printemps, les agents travaillent principalement à la surveillance de frayères des poissons qui remontent le courant pour aller pondre et aussi à la vérification des pêcheurs et de leurs prises. Ils portent aussi une attention particulière à la protection de l’ail des bois, espèce vulnérable retrouvée dans les forêts du sud du Québec.

 

Bref, nous ne sommes pas seuls à nous préoccuper des espèces d’animaux qui ne vivent pas nécessairement dans nos foyers. Plusieurs refuges prennent en charge des animaux sauvages lorsqu’ils sont blessés. Des chroniques précédentes rédigées par le Président de la SQDA ont abordées ce sujet. Nous pouvons citer le Refuge Pageau, le Centre d’observation de la faune et d’interprétation de l’agriculture de Falardeau, le refuge SOS Animaux, notamment.

 

Me Marilou Lévesque, Avocate

 

  1. Le micropuçage pour nos animaux domestiques

 

Le micropuçage est une technique relativement nouvelle au Québec et elle consiste à insérer une micropuce (petit dispositif de la taille d’un grain de riz) sous la peau de la nuque de l’animal avec un dispositif qui ressemble à une seringue et ce, par un technicien ou une technicienne vétérinaire. C’est un procédé simple et rapide qui ne cause qu’un léger inconfort à votre animal, semblable à celui que l’on ressent lorsqu’on se fait vacciner. Une fois la micropuce en place, si votre animal se perd ou se sauve et qu’il est retrouvé, une lecture de la micropuce permettra de le relier à une base de données qui nous indiquera vos coordonnées et ainsi, nous pourrons vous retourner votre petit ami plus rapidement.

 

Chez votre vétérinaire, le micropuçage de votre animal pourra coûter entre 40 $ et 85 $. Il faut donc magasiner. Par contre, la ville de Laval effectue régulièrement des journées de micropuçage pour ses citoyens et, cela à prix modique. On vous demande 25 $ par animal pour un rendez-vous de micropuçage. Ces «journées micropuçage» arriveront bientôt dans votre ville. Soyez vigilant! Vous pouvez également en parler avec vos élus et réclamer la présence d’une telle clinique sur votre territoire.

La micropuce n’est cependant pas un système GPS et elle ne permettra pas de localiser votre animal si personne ne le retrouve. Pour implanter un tel système dans votre animal, il vous en coûtera beaucoup plus que les 40 $ pour la micropuce puisqu’il faudra ensuite payer un frais mensuel afin que les ondes soient actives entre votre animal et la centrale, un peu comme une système d’alarme qui peut être ou ne pas être relié à une centrale.

 

La micropuce n’est pas obligatoire et elle ne remplace pas la médaille émise par votre municipalité. C’est un peu comme le fait que vous ne pouvez pas retirer votre plaque d’immatriculation même si votre véhicule possède un numéro de série qui est relié à une base de données. Il s’agit plutôt d’une seconde façon de vous assurer de garder votre animal en sécurité, car il peut perdre sa médaille, mais non sa micropuce. Enfin, il existe de plus en plus de cliniques vétérinaires et de refuges qui possèdent le lecteur pour consulter les informations inscrites dans la micropuce.

 

Un site web sera également bientôt en marche : webrefuge. Il s’agit d’un site où vous pourrez enregistrer votre animal. En cas de perte, vous lancez immédiatement des recherches via ce site. Vous trouverez également sur ce site de l’information et des conseils professionnels. Si vous voulez plus d’informations, vous pouvez visitez le site internet www.micropuce.ca. Ce site a été mis en place par une technicienne vétérinaire qui répondra sans doute à plusieurs de vos questions.

 

Me Marilou Lévesque, Avocate

 

  1. Freiner le génocide des animaux domestiques

 

Un de nos anciens présidents n’y va pas de mains mortes, c’est le cas de le dire, et vous allez pouvoir le constater par vous-mêmes au travers du sommaire d’un article publié dans le journal de Montréal Nord, le mardi, 25 décembre 2012.

 

Guillaume Onsow est propriétaire d’une boutique d’accessoires et de nourriture pour animaux domestiques à Montréal Nord. Sa boutique appelée «Chez Guill et Lumy» sort un peu de l’ordinaire, car il héberge une dizaine de chats, trois chiens, un lapin, lesquels gambadent librement dans son local situé sur le boulevard Léger. Tous ont cependant un trait en commun, ils ont tous été maltraités ou abandonnés. Étant un bon samaritain, il les a recueillis, guéris, nourris, pour ne nommer que les activités les plus importantes de la vie. Si on en fait un sommaire, il les a sauvés d’une mort ou d’une euthanasie certaine. Enfin, en passant le voir mercredi passé le 20 mars, j’ai constaté qu’il essaie en plus de sauver un chat qui est très mal en point. Sa boutique est devenue aux fils des temps un petit refuge. 

 

Guillaume Onsow ne veut cependant pas arrêter là son dévouement pour la cause animale qui dure depuis de nombreuses années. Il veut créer un organisme sans but lucratif qui viendra en aide aux personnes défavorisées ou incapables, pour des raisons économiques temporaires, de subvenir aux besoins de leurs animaux et de les faire stériliser. Il faut ajouter que la stérilisation est le moyen le plus efficace pour diminuer le nombre d’animaux abandonnés et, par le fait même, diminuer les animaux euthanasiés. Pour ce faire, il veut recueillir des dons et des commandites de nourritures pour animaux, et établir un partenariat avec un ou deux vétérinaires.

 

Enfin, selon M. Onsow, pour qu’il y ait tant d’animaux abandonnés ou euthanasiés au cours d’une année, il y a un problème de société. Il mentionne que la société doit se poser la question : «On continue le génocide des animaux domestiques ou on se prend en charge». Connaissant la société, il ajoute une autre phase à son projet, la création d’un refuge dans un local indépendant qui recueillerait les animaux abandonnés et les préparerait pour l’adoption. Mais, cette phase nécessite beaucoup plus de fonds et il a l’idée d’ouvrir dans le refuge un service de toilettage de même qu’un musée d’animaux pour financer ce projet.                 

 

Vous pouvez constater que notre ancien président a beaucoup d’idées pour le bien-être animal. Développer des idées et les débattre constitue la façon de faire avancer une société. Il faudrait en faire une analyse plus poussée pour voir comment le projet de refuge s’intègre dans le projet de refuge que la Ville de Montréal a annoncé l’an passé. Vu le dévouement que M. Onsow accorde au bien-être animal, nous le soutenons fortement dans le développement de ces projets et nous lui souhaitons bonne chance.

 

Ghislain A. Arsenault, Président de la SQDA   

 

  

 

 

 
 

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